Une méthode codée
entre flexibilité et durabilité
Une méthode codée
entre flexibilité et durabilité
Une méthode codée
entre flexibilité et durabilité
Si la pédagogie par projets est aujourd’hui largement répandue dans l’univers de la formation ; à Epitech, nous sommes pionniers de cette méthode et nous la mettons au centre de notre école. Nous valorisons le projet comme outil d’apprentissage, ce qui permet d’acquérir des connaissances d’une manière plus efficace, pérenne et surtout adaptable au monde de demain.
Dynamique et collective, elle est basée sur l’échange, le travail collaboratif, la variété des projets et la proximité avec le monde de l’entreprise.
C’est une méthode agile qui permet d’apprendre d’une manière durable et constructive. Elle s’adapte, et construit autour de l’étudiant(e) une combinaison d’expériences qui permettent d’acquérir et de développer des compétences dans la durée.
La pédagogie active par projets est ainsi à l’origine de l’apprentissage. C’est-à-dire qu’à travers leurs expériences, leurs réussites, leurs recherches, mais aussi leurs échecs ; les étudiants gardent en mémoire des réflexes de raisonnement et de développement de compétences et acquièrent ainsi des connaissances sur le long terme.
En travaillant sur des projets pour lesquels ils n’ont pas nécessairement de notions au préalable, les étudiants expérimentent, raturent, avancent, reculent. C’est une méthode empirique d’apprentissage par la pratique, ou encore de « Learning by Doing ». Peu importe si l’on se trompe… Car c’est bel et bien la pratique et l’usage qui laisseront des traces dans les esprits des étudiants via des réflexes cognitifs. L’analyse viendra ensuite a posteriori, et la théorie découlera naturellement de ces expériences.
Le projet est utilisé dans le cadre d’une pédagogie inductive et active. Inductive car la connaissance est induite de l’expérience ; active car les étudiants sont au centre de cet apprentissage. Ils ne sont pas de simples réceptacles de savoir, mais vont volontairement chercher la connaissance dans un cadre très pratique et concret pour ensuite la théoriser. Au lieu de leur servir la connaissance, nous leur servons des problèmes auxquels ils se doivent de trouver des solutions.
Ainsi, les étudiants sont invités à développer des projets professionnels, pour leur compte ou pour celui d’entreprises. Lors de la mise en œuvre de ces projets, ils partent, de manière très naturelle, en quête de connaissances qu’ils n’ont pas. C’est ainsi qu’en explorant, à travers le partage et la recherche, la théorie s’immisce d’une manière quasi insidieuse dans leur quotidien. Par ailleurs, le fait de travailler sur des projets concrets et d’une utilité réelle est aussi beaucoup plus stimulant pour les étudiants. A Epitech, nous pensons que le savoir n’a de la valeur que si l’on arrive à le mettre en perspective.
La pédagogie par projets s’appuie sur un système collaboratif et sur la dynamique de groupe. L’intelligence collective développe des mécanismes de travail et des compétences, en somme comme dans la vie active.
Mais le travail d’équipe connaît parfois son lot de désaccords, ce qui peut s’avérer extrêmement bénéfique pour l’apprentissage. C’est ce que l’on appelle le « conflit sociocognitif », étape formatrice car elle permet de prendre conscience du point de vue de l’autre.
Il faut alors trouver un terrain d’entente, sortir de sa zone de confort, et le simple fait qu’un tiers émette un doute sur une réflexion propre nous conduit nécessairement à nous remettre question. Tenter de convaincre l’autre peut aussi constituer un challenge constructif dans le déploiement d’un projet. Autant d’éléments moteurs pour l’épanouissement personnel et la consolidation des connaissances. Tout une procédure qui aboutit à la capacité à développer des synergies collaboratives fluides et productives.
Aujourd’hui emblématiques, les sessions de la piscine Epitech représentent l’exemple parfait de la mise en œuvre de notre pédagogie par projets.
En rassemblant les étudiants pendant plusieurs semaines, la Piscine permet de tester leur motivation et surtout de renforcer l’entraide et la solidarité entre les étudiants, valeurs chères à Epitech.
Au fil des années, la Piscine reste une étape incontournable du cursus Epitech, au sein duquel elle intervient sous différentes formes et à différents moments
Epitech a inventé le concept de la Piscine il y a 20 ans. A Epitech, la piscine n’est pas une discipline de natation (synchronisée) mais une discipline calquée sur du travail intensif. Les étudiants se retrouvent plongés dans l’un des langages de programmation les plus difficiles (le C) avec une grande masse de travaux à effectuer. Le challenge est de pouvoir s’en sortir, apprendre à respirer sous l’eau.
Si la pédagogie par projets est aujourd’hui largement répandue dans l’univers de la formation ; à Epitech, nous sommes pionniers de cette méthode et nous la mettons au centre de notre école. Nous valorisons le projet comme outil d’apprentissage, ce qui permet d’acquérir des connaissances d’une manière plus efficace, pérenne et surtout adaptable au monde de demain.
Dynamique et collective, elle est basée sur l’échange, le travail collaboratif, la variété des projets et la proximité avec le monde de l’entreprise.
C’est une méthode agile qui permet d’apprendre d’une manière durable et constructive. Elle s’adapte, et construit autour de l’étudiant(e) une combinaison d’expériences qui permettent d’acquérir et de développer des compétences dans la durée.
La pédagogie active par projets est ainsi à l’origine de l’apprentissage. C’est-à-dire qu’à travers leurs expériences, leurs réussites, leurs recherches, mais aussi leurs échecs ; les étudiants gardent en mémoire des réflexes de raisonnement et de développement de compétences et acquièrent ainsi des connaissances sur le long terme.
En travaillant sur des projets pour lesquels ils n’ont pas nécessairement de notions au préalable, les étudiants expérimentent, raturent, avancent, reculent. C’est une méthode empirique d’apprentissage par la pratique, ou encore de « Learning by Doing ». Peu importe si l’on se trompe… Car c’est bel et bien la pratique et l’usage qui laisseront des traces dans les esprits des étudiants via des réflexes cognitifs. L’analyse viendra ensuite a posteriori, et la théorie découlera naturellement de ces expériences.
Le projet est utilisé dans le cadre d’une pédagogie inductive et active. Inductive car la connaissance est induite de l’expérience ; active car les étudiants sont au centre de cet apprentissage. Ils ne sont pas de simples réceptacles de savoir, mais vont volontairement chercher la connaissance dans un cadre très pratique et concret pour ensuite la théoriser. Au lieu de leur servir la connaissance, nous leur servons des problèmes auxquels ils se doivent de trouver des solutions.
Ainsi, les étudiants sont invités à développer des projets professionnels, pour leur compte ou pour celui d’entreprises. Lors de la mise en œuvre de ces projets, ils partent, de manière très naturelle, en quête de connaissances qu’ils n’ont pas. C’est ainsi qu’en explorant, à travers le partage et la recherche, la théorie s’immisce d’une manière quasi insidieuse dans leur quotidien. Par ailleurs, le fait de travailler sur des projets concrets et d’une utilité réelle est aussi beaucoup plus stimulant pour les étudiants. A Epitech, nous pensons que le savoir n’a de la valeur que si l’on arrive à le mettre en perspective.
La pédagogie par projets s’appuie sur un système collaboratif et sur la dynamique de groupe. L’intelligence collective développe des mécanismes de travail et des compétences, en somme comme dans la vie active.
Mais le travail d’équipe connaît parfois son lot de désaccords, ce qui peut s’avérer extrêmement bénéfique pour l’apprentissage. C’est ce que l’on appelle le « conflit sociocognitif », étape formatrice car elle permet de prendre conscience du point de vue de l’autre.
Il faut alors trouver un terrain d’entente, sortir de sa zone de confort, et le simple fait qu’un tiers émette un doute sur une réflexion propre nous conduit nécessairement à nous remettre question. Tenter de convaincre l’autre peut aussi constituer un challenge constructif dans le déploiement d’un projet. Autant d’éléments moteurs pour l’épanouissement personnel et la consolidation des connaissances. Tout une procédure qui aboutit à la capacité à développer des synergies collaboratives fluides et productives.
Aujourd’hui emblématiques, les sessions de la piscine Epitech représentent l’exemple parfait de la mise en œuvre de notre pédagogie par projets.
En rassemblant les étudiants pendant plusieurs semaines, la Piscine permet de tester leur motivation et surtout de renforcer l’entraide et la solidarité entre les étudiants, valeurs chères à Epitech.
Au fil des années, la Piscine reste une étape incontournable du cursus Epitech, au sein duquel elle intervient sous différentes formes et à différents moments
Epitech a inventé le concept de la Piscine il y a 20 ans. A Epitech, la piscine n’est pas une discipline de natation (synchronisée) mais une discipline calquée sur du travail intensif. Les étudiants se retrouvent plongés dans l’un des langages de programmation les plus difficiles (le C) avec une grande masse de travaux à effectuer. Le challenge est de pouvoir s’en sortir, apprendre à respirer sous l’eau.
Si la pédagogie par projets est aujourd’hui largement répandue dans l’univers de la formation ; à Epitech, nous sommes pionniers de cette méthode et nous la mettons au centre de notre école. Nous valorisons le projet comme outil d’apprentissage, ce qui permet d’acquérir des connaissances d’une manière plus efficace, pérenne et surtout adaptable au monde de demain.
Dynamique et collective, elle est basée sur l’échange, le travail collaboratif, la variété des projets et la proximité avec le monde de l’entreprise.
C’est une méthode agile qui permet d’apprendre d’une manière durable et constructive. Elle s’adapte, et construit autour de l’étudiant(e) une combinaison d’expériences qui permettent d’acquérir et de développer des compétences dans la durée.
La pédagogie active par projets est ainsi à l’origine de l’apprentissage. C’est-à-dire qu’à travers leurs expériences, leurs réussites, leurs recherches, mais aussi leurs échecs ; les étudiants gardent en mémoire des réflexes de raisonnement et de développement de compétences et acquièrent ainsi des connaissances sur le long terme.
En travaillant sur des projets pour lesquels ils n’ont pas nécessairement de notions au préalable, les étudiants expérimentent, raturent, avancent, reculent. C’est une méthode empirique d’apprentissage par la pratique, ou encore de « Learning by Doing ». Peu importe si l’on se trompe… Car c’est bel et bien la pratique et l’usage qui laisseront des traces dans les esprits des étudiants via des réflexes cognitifs. L’analyse viendra ensuite a posteriori, et la théorie découlera naturellement de ces expériences.
Le projet est utilisé dans le cadre d’une pédagogie inductive et active. Inductive car la connaissance est induite de l’expérience ; active car les étudiants sont au centre de cet apprentissage. Ils ne sont pas de simples réceptacles de savoir, mais vont volontairement chercher la connaissance dans un cadre très pratique et concret pour ensuite la théoriser. Au lieu de leur servir la connaissance, nous leur servons des problèmes auxquels ils se doivent de trouver des solutions.
Ainsi, les étudiants sont invités à développer des projets professionnels, pour leur compte ou pour celui d’entreprises. Lors de la mise en œuvre de ces projets, ils partent, de manière très naturelle, en quête de connaissances qu’ils n’ont pas. C’est ainsi qu’en explorant, à travers le partage et la recherche, la théorie s’immisce d’une manière quasi insidieuse dans leur quotidien. Par ailleurs, le fait de travailler sur des projets concrets et d’une utilité réelle est aussi beaucoup plus stimulant pour les étudiants. A Epitech, nous pensons que le savoir n’a de la valeur que si l’on arrive à le mettre en perspective.
La pédagogie par projets s’appuie sur un système collaboratif et sur la dynamique de groupe. L’intelligence collective développe des mécanismes de travail et des compétences, en somme comme dans la vie active.
Mais le travail d’équipe connaît parfois son lot de désaccords, ce qui peut s’avérer extrêmement bénéfique pour l’apprentissage. C’est ce que l’on appelle le « conflit sociocognitif », étape formatrice car elle permet de prendre conscience du point de vue de l’autre.
Il faut alors trouver un terrain d’entente, sortir de sa zone de confort, et le simple fait qu’un tiers émette un doute sur une réflexion propre nous conduit nécessairement à nous remettre question. Tenter de convaincre l’autre peut aussi constituer un challenge constructif dans le déploiement d’un projet. Autant d’éléments moteurs pour l’épanouissement personnel et la consolidation des connaissances. Tout une procédure qui aboutit à la capacité à développer des synergies collaboratives fluides et productives.
Aujourd’hui emblématiques, les sessions de la piscine Epitech représentent l’exemple parfait de la mise en œuvre de notre pédagogie par projets.
En rassemblant les étudiants pendant plusieurs semaines, la Piscine permet de tester leur motivation et surtout de renforcer l’entraide et la solidarité entre les étudiants, valeurs chères à Epitech.
Au fil des années, la Piscine reste une étape incontournable du cursus Epitech, au sein duquel elle intervient sous différentes formes et à différents moments
Epitech a inventé le concept de la Piscine il y a 20 ans. A Epitech, la piscine n’est pas une discipline de natation (synchronisée) mais une discipline calquée sur du travail intensif. Les étudiants se retrouvent plongés dans l’un des langages de programmation les plus difficiles (le C) avec une grande masse de travaux à effectuer. Le challenge est de pouvoir s’en sortir, apprendre à respirer sous l’eau.
Nom évocateur d’une immersion totale, la Piscine signifie que les étudiants vont entrer dans le grand bain du code ! La piscine immerge dans une ambiance de travail et de partage, studieuse mais dans une bonne humeur permanente… Quoi de mieux pour découvrir ce nouvel univers ?
La Piscine est une période intense, une mise à l’épreuve pour les étudiants qui testent à la fois leur endurance et leur motivation, mais aussi leur goût pour le code et surtout pour l’apprentissage et la logique.
Car nous le savons : le milieu du numérique est sans cesse en évolution, et nous ne donnerons pas de recette toute faite. L’idée de la Piscine est d’apprendre aux étudiants à trouver les réponses par eux-même. Ils seront pour cela aidé, guidé, soutenu, par les Asteks, ces étudiants des années supérieures qui les encadreront ; mais aussi par leurs pairs, qui nagent dans la même piscine !
Les étudiants rencontreront sûrement des difficultés similaires, et apprendrons en s’aidant mutuellement, mais aussi en cherchant des réponses les uns auprès des autres. La dynamique de groupe fera ainsi son effet, et bien au-delà de l’apprentissage technique, ils apprendront à travailler ensemble : à se soutenir, à se challenger mutuellement, et à se fédérer autour d’un projet commun.
Nous viendrons réveiller en eux les capacités d’adaptation, de recherche, et d’auto-apprentissage. Quoi de plus stimulant que de chercher en soi ou auprès des autres la solution à un problème ? Et non dans un manuel ! A Epitech l’étudiant (e) n’est pas considéré comme un réceptacle de savoir, et la Piscine est là pour rappeler que la réponse se trouve en soi même. Seul (e) l’étudiant (e) a la capacité pour raisonner et atteindre son objectif.
Grâce à la Piscine les étudiant acquerront les bons réflexes, le bon rythme, la ténacité, les bons mouvements… pour les aider à nager dans le grand bain de la tech !
Première année, deuxième année, mais aussi lors du cycle de l’innovation à partir de la troisième année, les piscines accompagnent les étudiants tout au long de leur cursus.
La piscine la plus emblématique et dont tous les étudiants d’Epitech se souviennent est celle qui intervient en première année. Pour beaucoup d’entre eux, ce sont les premiers pas dans l’univers du code, avec l’apprentissage d’un nouveau langage. Elle dure cinq semaines, débute par de petits projets, puis au fur et à mesure que les étudiants montent en compétence, ils découvrent le « gros morceau » : la bistromatique, une calculatrice qui doit gérer des nombres infinis… Un challenge de taille pour un élève de première année qui n’a jamais touché au code !
Mais pas de peur à avoir. Les étudiants ne seront pas livrés à eux-mêmes. Répartis en six factions, chacune d’entre elle bénéficie du soutien d’un accompagnateur pédagogique et de deux assistants techniques. Ces derniers sont des étudiants des promotions supérieures qui ont vécu la même chose, et sont aujourd’hui là pour aider à comprendre comment raisonner pour toujours mieux progresser ; Soutenir les nouveaux étudiants dans leur démarche de réflexion, mais sans jamais donner la réponse, pour les laisser la trouver par eux-même…
Au début de la deuxième année intervient la Piscine C++, qui apprend ce nouveau langage. Après avoir découvert le langage C+ lors de la Piscine de première année, et avoir appris à le maîtriser pendant le reste de l’année ; les étudiants sortiront d’un stage de plusieurs mois. Ainsi, la Piscine C++ sera pour eux un bon moyen de remettre un pied à l’étrier. Ces trois semaines intensives permettent d’être efficace en C++ pour appréhender sereinement les projets de l’année à venir et consolider les acquis. Si le rythme de travail est encore plus soutenu que lors de la Piscine de première année, le fait que les étudiants maîtrisent désormais suffisamment bien le code informatique les plongera encore plus rapidement dans des projets plus challengeants.
Une autre forme de Piscine se déroule en troisième année lors de l’événement Moonshot.